des verrines qui se mangent

Ni vaisselle. Ni déchets. On mange contenu et contenant. Souvenir lointain. Les verrines m’ont rappelé le goût de l’hostie, faite de pain sans levain. En fait Thibaut Gilquin et Hélène Hoyois qui les proposent avec leur société DoEat  ont choisi une vaisselle qui se mange élaborée à base d’une recette d’eau et de fécule de pomme de terre.

Neutralité en bouche.

On peut mettre de ce que l’on veut à l’intérieur. La pomme de terre crée une verrine neutre en goût. Ni salé. Ni sucré. Il s’efface devant celui de la préparation ou de l’aliment que l’on sert. Et c’est un clin d’oeil à la nationalité de ces deux inventeurs qui sont belges !

Pour quel usage ? 

Pour des coquetels, c’est l’idéal. Nul besoin de ramasser la vaisselle qui a servi. Ou pour des grandes fêtes. Pas seulement pour les professionnels même si plusieurs chefs les ont adoptées. Sang-Hoon Degeimbre de l’Air du Temps et Jean-Phi Watteyne par exemple.  Pour les particuliers, Do eat commercialise des kits avec des recettes de chef spécialement adaptées.

Je les ai testées au Salon Maison et Objet qui s’est tenu à Villepinte début septembre. Pour l’instant, on peut les commander sur internet. 15 euros les 25 verrines. doeat.com

 

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