faire ses produits d’entretien soi-même. bicarbonate et vinaigre.

On n’est pas obligé de se lancer toute de suite dans la fabrication de son dentifrice !

Mais on ne perd plus une minute pour fabriquer soi-même un produit d’entretien qui servira dans un premier temps à tout nettoyer ou ….presque.

Pour éviter le confinement de la pollution intérieure. (Perturbateurs endocriniens, tensioactifs polluants et irritants, gaz toxiques).Pour se munir de produits  eco-friendly, respectueux de l’environnement si vous préférez, et sans doute faire des « éconocroc » ! Voilà donc une recette polyvalente de Régine Quéva, auteur de « Fabriquer sa lessive » aux Editions Larousse. (14 euros 90).

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Conseils de Régine Quéva:
Le bicarbonate le moins cher s’achète dans les grandes surfaces au rayon sel ou dans les magasins de produits naturels, le plus fin actuellement en pharmacie (mais c’est le plus cher !).
Troisième solution : le plus fin et le moins cher, à commander sur ce site
Régine Quéva anime de nombreux ateliers et des formations à destination des collectivités territoriales et du grand public.
Hélène D.

Merci à la femme qui marche pour nous faire découvrir ou redécouvrir les bienfaits du bicarbonate.

Et de m’avoir fait souvenir de ma grand-mère qui mettait une soucoupe remplie de bicarbonate dans la penderie où elle suspendait son manteau de fourrure lorsqu’il avait capté et gardé des odeurs de tabac. (Je vous parle d’un temps où les femmes pouvaient porter de la fourrure sans passer pour les destructrices de la biodiversité et où les hommes sortaient leurs cigarettes turques d’étuis gravés à leurs initiales)
Plus prosaïquement, ma grand-mère préconisait une pincée de bicarbonate pour faire monter les blancs en neige.
Gaëlle WS
On va être des pros de la survie, je fais mes yaourts, mon pain, coloriste pour mes cheveux….et j’envisage le potager !
Catherine B.
Depuis longtemps je me lave les cheveux au savon (après le shampooing solide Lush) je n’avais pas pensé à fabriquer mon dentifrice, dès que je le peux je l’achète dans les boutiques monastiques, c’est souvent bio…

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