Bien sûr, il y a les confitures de F., de Catherine., de Laurence., dans le commerce la corse de Charles Antona ou la marmelade basque Amatxo et j’en passe.
Mais dois-je l’avouer ? Je glisse vers l’infidèlité depuis que j’ai découvert celles moins sucrées de Léonce Blanc. Léonce Blanc né en Corrèze en 1892 et ses 70 % de fruits, vendues dans un joli bocal rond avec une étiquette noir mat et argent et une impression en relief. Chic, ce qui ne gâche rien !
La confiture moi, j’en mets surtout dans mes yaourts nature et je l’associe au fromage. Mais la majorité des ventes concerne le petit déjeuner ou des fêtes comme la chandeleur.
La quantité, les variétés et la qualité des fruits font la différence.
Léonce Blanc utilise des fruits rarement proposés sur les marchés (des fraises Camarosa par exemple) et au moins 2 ou 3 variétés différentes. Des confitures « blend » pourrait-on dire pour garantir le goût d’année en année.
La marque enrichit sa gamme en permanence : Fraise, 4 agrumes, Myrtille, Mangue, Ananas, Mirabelle, Fruits rouges, Pêche, Cassis, Passion, Rhubarbe et Clémentine s’ajoutent aux classiques comme framboise et abricot, et à des alliances poire-vanille et myrtille-cranberry, jugées souvent trop audacieuses par le consommateur. (Quel dommage !) Et dès avril prochain, Pamplemousse et Pêche blanche.
Pour ma part, j’ai un grand faible pour les Léonce Blanc cerise et figue 70 % de fruits.
Conseil aux amateurs de confiture de Framboise : constituer quelques réserves car elle s’annonce chère et compliquée à trouver cette année. (manque de fruits)
À retrouver en hyper et supermarchés au rayon confitures.
Prix de vente conseillé, en bocal de 320 g par exemple : Pamplemousse : 3,95€. Pêche blanche 3,60€ . Figues 3,09€.
En septembre dernier, j’en ai trouvé un large choix à l’Intermarché de la Teste de Buch, dans le Bassin d’Arcachon.