Ce jour-là, l’employé du magasin Métro, à Villeneuve-la-Garenne dans la région parisienne, a beau me dire que l’on appelle ce crabe le « king crab royal »,
nous retiendrons si vous le voulez bien « King Crab » en anglais, ou « crabe royal » en français…Voire crabe royal du Kamtchatka. Un géant quoiqu’il en soit dont l’espèce est très recherchée.
Mais un géant qui aujourd’hui met en péril l’écosystème des côtes des pays nordiques où on ne lui connaît aucun prédateur. Ce qui n’était pas le cas dans sa mer d’origine. Le détroit de Norton dans la baie de Bristol en Alaska.
Mais voilà. Des petits malins les ont importés à l’ouest de la Russie dans les années 60 pour les exploiter massivement à des fins économiques. Ils prolifèrent ! On dit même qu’ils pourraient atteindre les côtes atlantiques et que seules les eaux chaudes de Gibraltar pourraient mettre fin à leur course folle.
Mais voilà. Des petits malins les ont importés à l’ouest de la Russie dans les années 60 pour les exploiter massivement à des fins économiques. Ils prolifèrent ! On dit même qu’ils pourraient atteindre les côtes atlantiques et que seules les eaux chaudes de Gibraltar pourraient mettre fin à leur course folle.
Jusqu’à 8 Kg. Aussi bon chaud que froid .
Le crabe royal est péché toute l’année et spécialement entre octobre et décembre. On le vend en général cuit à l’eau mais on le trouve aussi cru ou congelé. Ah ses pinces ! Regardez …les ! Immenses et si bonnes avec de la mayonnaise. On peut également les cuisiner comme le homard ou la langouste. Sa chair blanche rappelle d’ailleurs celle du homard. Elle se révèle d’une extrême finesse. Il s’agit d’un met très prisé par les asiatiques.
Faut-il en acheter ?
Les russes imposent des quota de pêche pour maintenir les cours et font fi des problèmes écologiques que pose leur prolifération.
Prix constatés à Métro : une quarantaine d’euros pour les pinces et une soixantaine vendu entier.