Voilà un choix d’études en tous genres publiées ces derniers jours.
Notre corps est conçu pour être paresseux.
Flemmard quoi mais un flemmard intelligent puisqu’il fait tout pour économiser des calories et optimiser sa dépense énergétique. Les chercheurs de l’Université de Simon Fraser de Vancouver (Canada) ont demandé à des volontaires de porter un exosquelette robotisé qui, d’une certaine façon, rendait la marche plus difficile.
Les résultats de l’expérience ont montré que les participants adaptaient leur démarche afin de minimiser l’énergie dépensée.
Il est recommandé de lutter contre son inconscient, car la sédentarité nuit à la santé.
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande de faire 10 000 pas par jour. La pratique régulière d’un sport permet de diminuer jusqu’à 39 % le risque de développer un cancer du sein, de 26 % un cancer colorectal, de 25 % le risque d’être victime d’une attaque cérébrale et de 34 % le risque de diabète……
Moins vous dormez et plus vous risquez d’être enrhumé !
Vous l’avez sûrement remarqué : lorsqu’on est fatigué on s’enrhume plus facilement. Mais aujourd’hui une étude publiée dans la revue Sleep tend à le prouver. Les personnes qui dorment moins de 6 H par jour ont plus de chance de succomber aux rhinovirus.
164 personnes à qui on a administré par voie nasale un virus ont été confinées pendant 6 jours dans une chambre d’hôtel. Elles portaient une montre connectée à leur poignet pour mesurer leur temps de sommeil. Résultat : le risque de finir avec une boite de kleenex est de 45 % pour ceux qui dorment moins de 5 heures contre 30 pour les dormeurs de 5 à 6 heures et 18 pour consacrent plus de 7 H à Morphée.
Damien Léger, Pdt de l’Institut national du sommeil et de la vigilance :
« Plus généralement, la restauration du système immunitaire se fait pendant la période de sommeil lent profond ».
Conseil aux radios, aux télés et quotidiens d’info :
Arrêtez de nous stresser le matin avec des infos catastrophiques. Toutes les bad news avant 10 heures le matin rendent pessimistes…Alors que les histoires heureuses donnent la pêche. Résultat d’une enquête américaine.
Conclusion : les nouvelles négatives influencent la manière dont nous appréhendons notre travail et les défis professionnels parce qu’elles évoquent des problèmes de notre monde face auxquels on ne peut pas faire grand chose !.