Le coucher de soleil s’annonce magnifique. Et il le sera. Sans un nuage au dessus de la presqu’île du Cap Ferret. Une douceur incroyable pour cette fin de l’été. Et la vue sur la dune du Pilat et le Banc d’Arguin à l’entrée du bassin d’Arcachon laisse sans voix. Comme d’habitude.
Nous sommes venus dîner à la Co(o)rniche à Pyla sur Mer. Bizarrerie de l’orthographe ou étymologie incertaine, la dune et le lieu s’écrivent différemment.
Nous ne pourrions pas être mieux placés. La table réservée se situe en 1 ère ligne : le sable et la mer à perte de vue. Et on en prend plein les mirettes pour s’en souvenir les jours de spleen hivernal.
Cet ancien poste de chasse relookée par le décorateur Philippe Starck propose aujourd’hui un complexe luxueux avec un hôtel 5 étoiles, un bar et ce restaurant. Une adresse quoi !
Le dîner sera très agréable. Le service professionnel. Les chefs de rang et les runners habillés de blanc, Stan Smith aux pied. (Va falloir que je « blanchisse » les miennes, des « vintage » !)
Valentin. Chef de rang au restaurant la Co(o)niche. Pyla.
Deux menus au choix pour le dîner à 58 euros ou 63 (entrée, plat et dessert). La carte est renouvelée une fois par semaine.
Voilà notre choix ce soir là.
En entrée : Rémoulade de tourteaux aux agrumes et éclats de noisettes.
et un duo de saumon en tartare au raifort, fraîcheur de fenouil.
Comme plat : Carré d’agneau rôti,chutney de courgettes aux amandes et curry, croustillant de légumes aux saveurs asiatiques.
Steak de thon grillé, compotée d’oignons au lait de coco, salade thaï.
Pavé de maigre rôti, risotto croustillant paella, huile ail et chorizo, et petits pois frais. Très bon.
Et comme dessert :
Paris-Pyla praliné
verrine Tiramisu classique.
Pour 3 personnes, 220 euros sans les cocktails et avec une bouteille de Ferran Blanc, un Pessac-Léognan, (la Femme Qui marche a beaucoup aimé, ferran@chateauferran.com), sans oublier l’eau gazeuse des Abatilles.
La Co(o)rniche. Deux services le soir : 20 H 30 et 22 H . Adresse : 46 Avenue Louis Gaume, 33115. Pyla sur Mer.
