Manuel Anoyvega Mora est la découverte cubaine de l’hiver avec son album Cuba Cuba sorti le 8 novembre dernier.
Après plus de 40 de carrière et 20 ans d’accompagnement des plus grands, tels que Ernesto Tito Puentes ou Azuquita y su Melao, le pianiste cubain signe enfin son premier album en tant que leader, comme un pont entre le jazz et la musique cubaine, et entre Paris et Matanzas, sa ville natale d’où il puise son inspiration et à laquelle il voue une véritable admiration en faisant appel aux rythmes et harmonies locaux tels que le danzón et le guaguancó..
Cuba Cuba nous offre toute la riche tradition de la salsa.
De sa grande maîtrise technique dont la réputation n’est plus à faire à l’éclectisme et à une sensibilité qui fait la différence, le maître cubain cultive l’art des ornementations subtiles aux mélodies douces qui vous restent dans la tête.
Cette musique est accessible à tous, d’une universalité revendiquée et portée par Manuel Anoyvega. Il est accompagné de Pierre Guillemant à la contrebasse, Abraham Mansfarroll Rodriguez à la batterie, Guillaume Naturel au saxophone et à la flûte, et Inor Solotongo aux percussions.
Concert On pourra les écouter le 29 novembre au Studio de l’Ermitage à Paris.
Pour découvrir l’album Cuba Cuba :
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Pour son premier album sous son nom, Manuel a aussi mis en avant ceux qui lui sont précieux à savoir les amis, compatriotes et partenaires de scène de toujours que sont les Cubains Abraham Mansfarroll Rodriguez et Inor Sotolongo, respectivement à la batterie et aux percussions, mais aussi les Français Guillaume Naturel et Pierre Guillemant, au saxophone et à la basse.
Là encore, Manuel est le pont qui traverse l’Atlantique et unit son Cuba natal à sa France d’adoption pour former un groupe dont le talent n’a d’égal que la générosité au service d’une musique qui touche et qui parle à chacun au plus profond de son être.
A cette sensibilité s’ajoute le sens du placement d’un Duke Ellington dont les interventions ponctuent les percussions de ses compatriotes et acolytes de longue date, MM. Abraham Mansfarroll Rodriguez et Inor Sotolongo. Se crée alors un swing hors du commun, une alchimie toute particulière constamment ravivée par le saxophone feutré de Guillaume Naturel et la basse envoûtante de Pierre Guillemant.
A eux tous ils créent une oeuvre nouvelle, complexe mais néanmoins touchante, un condensé qui par son universalité touchera et surprendra le plus averti des salseros comme celui qui se retrouve dans le piano de Debussy ou le sax de Lester Young.
Manuel Anoyvega Mora
Nouvel album Cuba Cuba. Disponible chez Fofo Production / Caroline International
En concert le 29/11 au Studio de l’Ermitage à Paris
la Femme Qui Marche avec /le Service de presse de Manuel Anoyvega Mora
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