« play ». alexander Ekman. joyeuse année 2018 de l’opéra garnier.

Passer la soirée du 31 décembre à l’Opéra Garnier, c’est magique. L’escalier est tapissé de fleurs qui seront prélevées, selon la tradition, par les spectateurs à la fin de la soirée. A l’entracte, petits fours et champagne sont offerts. Comme d’habitude, vous avez ceux qui se sont très joliment habillés et ceux qui sont venus en jean ou équivalent.

Ce 31 décembre 2017, c’était la dernière de « Play », du chorégraphe, Alexander Ekman, la coqueluche des scènes internationales du moment.

Un spectacle qui m’a à la fois transportée (son décor sans fosse d’orchestre et une chorégraphie par moment éblouissante) et beaucoup agacée.

Le final sacrifie à la mode: un lâcher de ballons blancs pas très réussi qui arrive comme un cheveu sur la soupe…..

Play. Alexander Ekman. La Femme Qui Marche.

Play. Alexander Ekman. 
La Femme Qui Marche.

Moi, j’ai préféré le lâcher de ballons multicolores qui a sa raison d’être au nom de la poésie du Slava’s Snowshow…

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Ce serait donc la mode des lâchers de ballon pour clore un spectacle. Mais franchement ai-je besoin d’aller à l’Opéra Garnier pour jouer les pingoins  ?

 

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