la prairie, que vous pouvez admirer ici à la Malmaison, se présente telle qu’elle était du temps de Joséphine de Beauharnais. A l’époque, elle n’était fauchée que 2 fois par an, fin juin et fin septembre, et était utilisée comme pâturage pour les animaux. Joséphine les aimait et vers la fin de sa vie, elle avait même fait venir un éléphant ! Le service des Jardins du musée de la Malmaison s’efforce ainsi de restituer un état historique du domaine. Une serpente pour les visiteurs mène aux cygnes noirs, une curiosité australienne, qu’on lui doit également….
La Malmaison : C’est ici que Joséphine et Napoléon vécurent. Elle y resta, seule, après leur séparation. Napoléon lui donna carte blanche pour relancer le luxe français et elle s’y employa. Le parc est splendide et l’arrivée en cette mi-octobre magnifique avec ces fleurs dans des camaïeux de rouge et violet. Bien sûr pour y voir les roses, il faudra choisir une autre saison.
Le couple planta un cèdre du Liban en 1800. Le voici. Plusieurs cèdres du Liban ont été plantés dans le parc.
L’intérieur de la Malmaison se visite naturellement et on est ravi et surpris parfois par la modernité des lieux.