Courtney Barnett voulait devenir professionnelle de tennis, (regardez le clip de « Avant Gardener ») auteur de cartoons. Finalement, elle sera chanteuse auteur interprète, songwritrice disent les spécialistes . Et d’après le Figaro Magazine, Courntey Barnett sauve le rock avec « ses paroles géniales et ses guitares barbelées ».
Australienne, elle vit à Melbourne après avoir passé son enfance en Tasmanie (avec le diable ?). Comme l’écrit si bien Nicolas Ungemuth, elle donne toujours l’impression qu’elle vient de se réveiller. Visage souvent impassible, falot même, aucun maquillage et allure plutôt masculine,elle le reconnait elle même : « J’ai toujours été très effacée. Je n’étais jamais celle qui racontait des histoires et que tout le monde écoutait en silence. C’est seulement lorsque j’ai commencé à écrire des chansons que les autres ont commencé à m’écouter. Ma Musique est devenue mon principal moyen de communication et de séduction avec l’extérieur.”
« Il m’a fallu du temps pour trouver le courage de chanter en public. Au début, je pleurais sur scène tellement j’étais mal à l’aise. J’ai acquis une sorte de confiance en moi et de sérénité lorsque j’ai trouvé les bons musiciens pour m’accompagner.”
“Je ne pensais pas que mes chansons avaient le moindre pouvoir d’attraction, au début, Moi-même je ne les trouvais pas spécialement attirantes ! ” ( Source les Inrocks)
Ecoutez la.
la première fois, on se dit ah bon, ça ? Puis elle crée comme une sorte d’hypnose dont on a du mal à se libérer. Son premier album au titre savoureux a mis tout le monde d’accord : Sometimes I sit and think, and sometimes, I Just Sit « . Si vous êtes auditeur de cette radio, vous l’entendrez notamment sur France Inter qui la programme.