noël : bassin d’arcachon. pyla-sur-mer. douceur après les tempêtes.

Un article sans photos, c’est nul, je sais, personne ne va le lire.

Je n’arrive plus à recevoir sur mon mail les photos de mon portable. Alors tant pis , en attendant d’y arriver, à vous de lire avec un peu beaucoup d’imagination …

Le week end avant Noël, Fabien déversait ses vents et ses fortes pluies sur la côte ouest du littoral.

4 tempêtes en moins de deux mois  ici dans le bassin d’Arcachon et de l’eau, de l’eau, de l’eau tombée sans arrêt du ciel……

Jeudi dernier, le soleil est revenu avec des températures clémentes dans la journée, un ciel bleu magnifique et une eau étale. On en a même vus se baigner sans combinaison. Cela donne envie. Des enfants jouent dans les flaques à marée basse.

A Pyla-sur-mer, la plage Maloune a été sérieusement creusée. Toute plate, elle est méconnaissable.

En se promenant vers la Corniche, on voit les palplanches qui soutiennent les digues et les perrets. Pour moi, une première.

Plus loin, sur les plages océanes, la tempête aussi a causé des dégâts. Le cimetière marin des arbres, toujours à cet endroit, près du Petit Nice, regorge de cadavres de pins.

Il est 13 heures. Deux hommes descendent à plusieurs reprises d’une voiture de la sécurité des plages de la ville de la Teste. Ils trient par ci par là des piquets de bois qui ont dégringolé. Ils servaient de clôture le long de la dune replantée. Pas trop grands et pas abimés les piquets. Ils me donnent l’impression de venir ici « faire leur marché » pour leur jardin. J’ai sûrement tord !

Plus loin Ocean Roots, l’un des clubs de surf du Moulleau, a amené des surfeurs. Les vagues sont courtes. Pas de spectacle pour les promeneurs !

Mais que font ces pêcheurs à 150 m du rivage ? Leur drône a transporté le fil de leur canne avec l’hameçon à 600 ou 700 mètres de la plage pour atteindre les vagues où il fait bon pêcher.

« Un drône pour pêcheurs » ?

« Oui, madame, cela existe. C’est comme si nous étions en mer sur un bateau. Bien sûr, il faut avoir les moyens. Cela coûte cher ».

On n’arrête pas le progrès !

 

 

 

 

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