Pyla sur mer. Dune du Pilat. Bassin d’Arcachon. Chant des sirènes. Après la tempête, le beau temps ?

Sale temps sur le Bassin d’Arcachon.

Un peu tôt pour la saison. Plutôt la pluie annonciatrice parfois des grandes marées.

Sur la plage de Pyla sur mer, on confond le sable avec la mer et l’horizon. Un camaïeu de gris. En face, le Cap Ferret, est invisible.

Pyla sur mer. plage. Crédit photo : Frédéric Rousset

Pyla sur mer. plage. Crédit photo : Frédéric Rousset

Personne dans l’eau. Ah mais si, un baigneur. Un seul nageur. Peut-être est- il allé vérifier le mouillage de son bateau. Le vent est tournant. Avant d’enfourcher son vélo, ruisselant, rien sur lui, rien dans les mains, il dira stoîque : « il fait plus chaud dedans que dehors « . On veut bien le croire. Il donnerait presque envie !

On rentre se mettre au chaud, manger des bulots et des crevettes achetées au Marché de la Teste chez  Any. Et dans l’après-midi, on écoutera le Chant des Sirènes de Fréro Delavega sans comprendre grand chose aux paroles. Y-a-t-il seulement quelque chose à comprendre ? …Au gré des photomatons…Harmonie fluette….L’écho s’évade sur la dune du Pilat….Quel génie ! Peu importe, la Femme Qui Marche chantonne….

LE CHANT DES SIRÈNES – FRÉRO DELAVEGA

Auteurs: Ladeveze. Compositeurs: Florian Garcia,Frerot

Editeurs: Universal Music Publishing,Canal Music Publishing Bv,Charabia

Enfants des parcs, gamins des plages
Le vent menace les châteaux de sable façonnés de mes doigts
Le temps n’épargne personne hélas
Les années passent, l’écho s’évade sur la Dune du Pilat
Au gré des saisons, des photomatons,
Je m’abandonne à ces lueurs d’autrefois
Au gré des saisons, des décisions, je m’abandonne

Quand les souvenirs s’en mêlent, les larmes me viennent,
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire

Tadalalala, tadalalala
Tadalalala, tadalala

Combien de farces, combien de frasques
Combien de traces, combien de masques
Avons-nous laissé là-bas
Poser les armes, prendre le large
Trouver le calme dans ce vacarme avant que je ne m’y noie

Au gré des saisons, des photomatons,

Je m’abandonne à ces lueurs d’autrefois
Au gré des saisons, des décisions, je m’abandonne

Quand les souvenirs s’en mêlent, les larmes me viennent,
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire

Oh
Oh

Quand les souvenirs s’en mêlent, les larmes me viennent,
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire

Quand les souvenirs s’en mêlent, les larmes me viennent,
Et le chant des sirènes me replonge en hiver
Oh mélancolie cruelle, harmonie fluette, euphorie solitaire

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